Qu’est-ce qu’un trouble musculo-squelettique ou TMS ?
Le TMS, dont la définition reste relativement floue, est un ensemble de pathologies entraînant un handicap dans la vie professionnelle et dans la vie privée.
Ils se manifestent à partir d’une inadéquation progressive entre les capacités physiques du corps et l’hypersollicitation permanente à laquelle il est exposé.
Paradoxalement, la sédentarité joue un rôle dans l’apparition des TMS.
Ces troubles s’expriment par des douleurs, des raideurs, des lourdeurs articulaires et une perte de force. Ils vont avoir un ****impact sur le long terme et peuvent engendrer un ****handicap et une perte de mobilité qui mènent à la dégradation de qualité de vie, des absences répétées et de facto à la désinsertion professionnelle.
De la diversification des troubles musculo-squelettiques, en découlent des enjeux colossaux en termes de santé publique et de santé au travail. Ce sont 22 millions de journées de travail perdues à cause des TMS et du mal de dos. Ce qui représente 30% des arrêts maladie.
Quels sont les TMS les plus fréquents ?
Les TMS sont multifactoriels et résultent d’un enchaînement de circonstances plurielles. Toutefois, l’activité professionnelle joue un rôle établi.
Les troubles musculo-squelettiques représentent plus de 90 % des maladies professionnelles déclarées selon la Santé Publique France. Ils sont la 1ère cause de maladies professionnelles indemnisées.
À ce jour, les articulations du haut du corps les plus touchées sont les mains, du poignet aux doigts (38%), les épaules (30%) ainsi que le coude (22%).
Concernant les membres inférieurs, moins atteints que les membres supérieurs, ce sont le bas du dos (7%) et le genou (2%) qui sont majoritairement touchés.
Parmi les TMS les plus fréquents, nous retrouvons à titre non-exhaustif :
- le syndrome du canal carpien (38 %) ;
- le syndrome de la coiffe des rotateurs à l’épaule (30 %) ;
- l’épicondylite latérale au coude (22 %) ;
- les lombalgies (douleurs au niveau du bas du dos) (7 %).
Quelle que soit leur localisation, les TMS peuvent devenir irréversibles et entraîner un handicap durable. Afin que ces maladies ne deviennent pas chroniques, elles doivent être diagnostiquées et prises en charge précocement.
Pourquoi souffre-t-on d’un trouble musculo-squelettique ?
L’apparition de ces troubles est soutenue par un manque d’hydratation et de drainage des tissus. Ces derniers produisent des déchets métaboliques qui vont s’accumuler dans le corps. Cette simultanéité d’événements entretient les douleurs musculaires, tendineuses, ligamentaires et articulaires.
Les facteurs favorisant les troubles musculo-squelettiques sont variés. Un merveilleux cocktail de contraintes biomécaniques, environnementales, psychosociales, organisationnelles et individuelles.
La conception du lieu de travail puis du poste de travail jouent un rôle fondamental dans le développement d’un TMS. Alors, une personne ayant toujours été capable de conduire son activité pendant de nombreuses années, se voit aujourd’hui destituée de ses capacités fonctionnelles habituelles en raison d’une cause X qui est survenue, puis a entravé la situation (pathologie, événement personnel, vieillissement etc…).
De plus, bien que délicate et souvent négligée, la prise en compte d’éléments psychologiques est cruciale.
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Les facteurs ergonomiques des TMS
Particulièrement liés au travail, les TMS résultent de contraintes biomécaniques telles qu’une posture contraignante, des mouvements de torsion, une répétition fréquente du même groupe articulaire et/ou musculaire, un port de charges lourdes mais aussi un travail statique.
Parmi eux, des facteurs environnementaux peuvent aggraver l’apparition des TMS dont le froid et le bruit.
Sans oublier l’ensemble des contraintes psychosociales (insatisfactions en tout genre au travail) et organisationnelles (rythme et horaires soutenus).
Lorsque l’effort musculaire est exigé, la fatigue associée augmente. Quand la fatigue dépasse la capacité de récupération, cela cultive un déséquilibre musculo-squelettique. Avec le temps et la persistance de cette situation, un TMS se développe.
Les facteurs individuels des TMS
Le stress, la fatigue et une récupération insuffisante intensifient l’ampleur de ces diverses contraintes. Les facteurs individuels des TMS comprennent l’âge, le vieillissement, le diabète, l’hypothyroïdie, l’obésité, la baisse de l’immunité et le rhumatisme inflammatoire. S’ajoute à cela un excès de consommation de tabac et d’alcool.
Une douleur peut témoigner de multiples pathologies, il convient donc d’identifier les facteurs physiques, psychologiques et personnels à l’origine de l’apparition du trouble. Un enjeu capital pour obtenir des propositions thérapeutiques adaptées.
Comment soulager naturellement les TMS ?
Le corps humain est complexe. Les causes des TMS dépendent de la nature du travail, de l’ergonomie de travail, de l’état de santé général mais également des antécédents médicaux.
Alors, se limiter à une cause unique de TMS limitera la capacité à mettre en oeuvre une prévention efficace. C’est pour autant de raisons qu’il est important d’inclure un suivi médical pour suivre l’évolution du trouble et mettre en place une solution adéquate.
- L’harpagophytum aussi appelée griffe du Diable ou encore plante-grappin, est une plante herbacée issue d’Afrique du Sud. Elle est utilisée dans le cadre d’un traitement de phytothérapie. Cette plante est reconnue pour son efficacité sur le confort articulaire au quotidien. Elle améliore la mobilité et la souplesse des articulations. L’harpagophytum est disponible en gel, en teinture mère et en poudre.
- La mésothérapie : Technique médicale alternative, elle consiste à injecter de façon ciblée des médicaments dans le derme (la couche profonde de la peau). Elle est proposée dans le traitement de la douleur (arthrose, douleurs lombaires, douleurs cervicales, tendinites). Néanmoins, cette technique suggère l’intervention indispensable d’un professionnel agréé.
- Les patchs STIMCARE : Ces patchs naturels favorisent la détente des gênes fonctionnelles. Grâce à un alliage d’oxydes minéraux naturels de la technologie eNOsyntex, les patchs améliorent la micro-circulation sanguine. En effet, lors de l’inflammation, le corps produit naturellement des infrarouges. En positionnant les patchs sur des zones spécifiques, ces infrarouges se concentrent et stimulent les capacités du corps humain. Ainsi, le processus de régénération des cellules est accéléré. Les toxines accumulées sont drainées et la douleur est soulagée rapidement. Les patchs sont efficaces entre 3 et 10 jours maximum.
Les troubles musculo-squelettiques sont donc la conséquence de mouvements répétitifs ou réalisés de manière inappropriée.
Étant donné que le TMS peut toucher différentes régions corporelles, si vous rencontrez une douleur à la palpation de la zone, une douleur à l’étirement ou à la contraction, nous vous invitons à écrire à sante@stimcareonline.com pour obtenir des conseils personnalisés d’un thérapeute pour la pose des patchs STIMCARE la plus adaptée à votre problématique.
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