Les règles, un tabou universel et ancestral
À l’échelle mondiale, plusieurs millions de jeunes filles et de femmes ont leurs règles chaque mois. Si le phénomène physique est identique dans tous les pays, le contexte social peut imposer des situations totalement différentes. Le tabou autour des règles a des conséquences dramatiques pour la vie des filles et femmes qui sont exclues socialement, considérées comme impures quand elles ont leurs règles. Dans certaines communautés d’Inde ou du Népal, un exil forcé contraint encore aujourd’hui la femme à quitter sa famille et son village durant toute la période de ses menstruations.
Si la situation en Europe est loin d’être aussi extrême, la gêne ressentie pendant les règles n’en est pas moins toujours pesante. Pour comprendre ce malaise, il faut savoir que pendant des siècles en Europe on a rattaché le sang menstruel à une impureté, qui associé aux douleurs, était nécessaire pour laver les femmes de leurs péchés. Aussi incompréhensible soit-il, ce jugement a laissé des traces dans la psyché et aujourd’hui c’est le plus discrètement possible que la femme vit son cycle menstruel si elle ne veut pas s’entendre dire : « Qu’est-ce que tu as aujourd’hui ? » « Tu as tes règles ou quoi?».
L’impureté du sang, l’injonction à cacher à tout prix l’idée même des menstruations (jusqu’à très récemment, on ne trouvait aucune publicité pour protection hygiénique montrant l’absorption d’un liquide qui aurait l’apparence du sang, par exemple), la nécessité d’une hygiène irréprochable pendant cette période « impure », la honte d’être une femme sont toujours très présentes dans notre société.
On comprend aisément que la communication autour de ce thème est encore et toujours un tabou indéboulonnable. Pourtant, avoir ses règles est totalement naturel. Cependant, trop de filles et de femmes ressentent un sentiment de honte et sont soumises à un tabou dangereux sur le sujet.
Actuellement, 1,7 million de femmes souffrent de « précarité menstruelle », une expression qui désigne notamment un manque d’accès aux protections hygiéniques. Par peur des moqueries si elles tâchent leurs vêtements et par honte, beaucoup de jeunes filles ne vont pas à l’école lorsqu’elles ont leurs règles, entraînant parfois une déscolarisation totale.
Pour normaliser les règles, l’association humanitaire CARE, très engagée pour la cause des femmes, a lancé l’initiative #respecteznosrègles pour lutter contre ce tabou. La campagne invite les internautes à en parler sur les réseaux afin que plus jamais des drames ne surviennent, comme la mort en exil menstruel d’une femme au Népal, ou le suicide d’une jeune fille au Kenya à cause d’une tâche de sang.
Si le simple fait d’avoir ses règles est toujours considéré comme un fardeau à cacher, comment parler alors de la douleur qui y est associée ?
Douleurs menstruelles, une souffrance pourtant bien réelle
Depuis toujours les femmes s’entendent dire que la douleur causée par les règles est “normale » ; à tel point que certaines ne vont pas consulter un médecin et endurent cette période seules.
Une douleur normale ? En 2016 des recherches ont établi que les douleurs menstruelles peuvent être “as bad as having a heart attack” ; soit « aussi douloureuses qu’une crise cardiaque ».
Elles ont mal, parfois terriblement mal. Mais c’est normal, leur avait-on toujours répondu. Après tout, avant elles, leurs mères, leurs grands-mères avaient aussi porté leurs croix. Des histoires de femmes. Alors, pour ne pas passer pour des faiseuses d’histoires, elles ont appris à serrer les dents et à souffrir en silence. « Les règles douloureuses, je l’avais complètement intériorisé », se souvient Céline Ferrara.
Un sujet tabou, des douleurs non-prises en compte, un manque d’information : les règles sont encore une source d’angoisse pour la plupart des femmes explique Gaëlle Baldassari, l’auteure de « Kiffe ton cycle », formatrice et coach diplômée en approche neurocognitive comportementale.
En France, l’Assurance Maladie déclare que « les douleurs lors des règles sont la première cause d’absentéisme scolaire de l’adolescente et d’absentéisme professionnel de la femme ». Autant dire que le constat est remarqué et remarquable !
Alors pourquoi tant de femmes cachent encore cette souffrance ?
Le silence et les interdits limitent l’accès des femmes et des filles à des informations pertinentes sur leur corps et les règles.
Certains médecins, plutôt démunis, peuvent eux aussi encore manquer de considération, banaliser la douleur des règles et voir dans ces symptômes physiques une somatisation psychologique.
Est-ce pour autant une raison suffisante pour normaliser cette douleur ?
La réponse est non ! Les règles ne sont pas synonymes de souffrance.
Oui la douleur est réelle. Et non, ce n’est pas une fatalité !
Dans un précèdent article, nous avons expliqué l’origine des douleurs liées aux règles. La contraction des muscles utérins génère des spasmes qui sont l’un des principaux points de souffrance causé par les menstruations. « Pour lire ou relire l’article cliquez ici ».
Les douleurs menstruelles peuvent apparaître à deux moments :
- avant l’arrivée des règles, on parle de syndrome prémenstruel.
- pendant les règles, sur les premiers jours des saignements, on parle alors de dysménorrhée. La dysménorrhée est un terme médical qui désigne les crampes menstruelles, c’est-à-dire des douleurs en bas de l’abdomen qui durent en moyenne de 2 à 3 jours. Ces douleurs touchent entre 50 % et 80 % des femmes.
La bonne nouvelle c’est que des solutions existent. Pour apaiser de façon efficace et naturelle les douleurs pelviennes ou celles situées dans le bas du dos, STIMCARE a développé́ la gamme PERIODS. Conçu grâce à la technologie brevetée eNOsyntex, le patch infrarouge STIMCARE PERIODS fonctionne en reflétant, tel un miroir, les infrarouges émis par l’organisme lui-même. Cette concentration d’infrarouges endogènes active la microcirculation sanguine et favorise alors la détente des muscles lisses utérins pour un soulagement rapide et durable. Sans aucun produit chimique, les patchs STIMCARE PERIODS apporte une vraie réponse aux douleurs de règles de manière naturelle.
Parce que prendre soin des femmes est une nécessité, la gamme Stimcare Periods a été conçue pour libérer les femmes des douleurs menstruelles et leur permettre de vivre pleinement leur vie à chaque instant.
SOULAGEZ VOS DOULEURS DE RÈGLES AVEC LES PATCHS STIMCARE
Appliquez simplement le patch en suivant nos vidéos tutos, disponibles juste ici pour vous guider à chaque étape.
Pour toute question relative à la pose du patch, envoyez votre demande à l’adresse sante@stimcareonline.com, un thérapeute formé et certifié à la pose des Patchs STIMCARE est à votre écoute et prendra le temps de vous répondre.
A retenir
- Les douleurs lors des règles sont la première cause d’absentéisme scolaire de l’adolescente et d’absentéisme professionnel de la femme jeune
- Les douleurs menstruelles résultent des différentes réactions de l’organisme durant les règles
- La souffrance menstruelle n’est pas une fatalité
- Le patch STIMCARE PERIODS reflète comme un miroir les infrarouges émis par l’organisme et permet ainsi un soulagement rapide et durable de la zone en souffrance
- Les patchs ne sont pas transdermiques, aucun produit chimique ne pénètre dans l’organisme
- Les patchs sont actifs sur toute la période des menstruations
Conclusion
Une femme a ses règles en moyenne entre 2 555 et 3 000 jours dans sa vie, soit plus de 8 ans au total. Pour trop de femmes et de filles, leurs règles correspondent à autant de jours perdus à éprouver des douleurs, un sentiment de honte ou être victimes de discriminations.
Pour briser le tabou des règles, l’ONG CARE agit au quotidien pour faire évoluer les mentalités et permettre aux femmes de vivre leurs règles dignement.
Aujourd’hui, grâce à STIMCARE, la souffrance menstruelle n’est plus une option à laquelle une femme est obligée de se soumettre. En effet, les douleurs de règles peuvent être désormais soulagées en quelques heures de façon naturelle et efficace grâce aux patchs Stimcare Periods.
- Faites de votre corps un allié et choisissez de vivre pleinement votre féminité.